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Portrait : René Bergniard, VP & Managing Director, Qlik France

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René Bergniard est le VP & Managing Director de Qlik France. Il a rejoint la filiale à sa création en 2007 et l’a accompagnée dans sa forte croissance. Il revient sur les débuts de la société et les grandes étapes de son développement, et nous livre sa vision du futur.

Pouvez-vous nous résumer votre parcours avant Qlik ?

René Bergniard : J’ai une formation un peu atypique, puisque j’ai appris l’informatique dans l’Armée de l’Air, que j’ai rejoint très jeune, car j’étais passionné par l’aviation. Dans mon Ecole des Sous-Officiers, j’ai eu l’occasion de me spécialiser dans l’électronique, puis dans l’informatique. J’ai débuté ma carrière dans des fonctions très techniques, puisque j’étais responsable de la maintenance des mainframes dans les centres de transmission stratégique, puis j’ai quitté l’armée pour entrer chez un constructeur informatique. J’ai ensuite bifurqué vers des fonctions plus commerciales, puis managériales, avec un long passage chez StreamServe, à différentes fonctions de management (Directeur commercial, DG, et VP Europe du Sud).


Comment avez-vous connu QlikView ?

René Bergniard : C’est en 2007 qu’un de mes anciens managers m’a contacté. Il avait rejoint Qlik (QlikTech à l’époque) en Suède et souhaitait développer une filiale en France, et il avait pensé à moi.  J’ai tout de suite été séduit par le positionnement de QlikView, et par l’esprit de la société. J’avais déjà travaillé dans une entreprise suédoise, et j’appréciais l’ouverture du management et le respect de l’individu que l’on trouve chez Qlik. Il n’y avait que 200 personnes chez Qlik à l’époque et tout était à faire pour éduquer le marché, mais j’ai choisi de me lancer dans cette aventure, en me disant : « il ne faut pas rater ça ».


Il y avait déjà quelques clients QlikView en France à cette époque ?

René Bergniard : Oui, un ou deux revendeurs avaient déjà conquis des clients. Et il y avait aussi un revendeur « QlikView France » avec une petite équipe en place au marketing et à la vente, qui venait de constituer la filiale et dont la plupart des membres sont encore présents aujourd’hui.


Quelles ont été les grandes étapes du développement de Qlik en France ?

René Bergniard : La première étape était de recruter des commerciaux et des consultants avant-vente, car nous avions des objectifs ambitieux de croissance. Nous avons doublé notre activité et nos effectifs chaque année, et nous avons eu rapidement besoin de plus d’espace : nous avons démarré dans des bureaux en services partagés à La Défense, sans salles de réunion. Il m’est arrivé de faire des entretiens de recrutement dans le couloir ! En 2008, nous avons déménagé une première fois à Neuilly, avant de rejoindre nos bureaux actuels avenue du Général de Gaulle, qui nous amenaient un peu plus de confort… et de climatisation ! En parallèle, il fallait mener de front le recrutement des partenaires, un des facteurs-clefs de succès pour nous, et la constitution d’une équipe de management, pour encadrer les équipes marketing, commerciales, services, avant-vente, et pour traiter les fonctions support, à la finance et aux RH.


Qu’est-ce que a été le plus compliqué dans l’expansion de Qlik en France ?

René Bergniard : Le recrutement était délicat, et il l’est toujours, car nous ne voulons pas nous tromper, et nous préférons attendre de trouver le bon candidat. Les performances comptent tout autant que l’état d’esprit, il n’y a pas de « diva » chez Qlik. Il me fallait également choisir, aux débuts de la filiale, des personnes qui seraient capables de suivre la croissance d’une entreprise qui grandit et se structure, et qui impose nécessairement des processus plus cadrés. Nous avions aussi à gérer l’approche commerciale auprès des grands comptes : il n’était pas facile de les convaincre d’ajouter un nouveau type de solution à leur panoplie BI. Il était indispensable de développer rapidement notre notoriété et de faire comprendre notre positionnement unique à l’époque. Fin 2007, lors de notre premier grand événement à La Défense, nous avions déjà réunis 200 clients et prospects. Nous savions que nous étions sur la bonne voie. 


Qu’est-ce qui a été le plus étonnant dans cette aventure ?

René Bergniard : J’avoue que ce qui est formidable, et que je n’ai connu nulle part ailleurs, c’est l’enthousiasme de nos clients pour QlikView. Dans les autres entreprises informatiques, il est toujours compliqué de trouver des utilisateurs qui acceptent de témoigner, il y a toujours un problème technique en cours à résoudre ou des réticences à s’afficher avec un prestataire. Grâce à QlikView, nous avons de véritables fans et nous découvrons toujours des histoires passionnantes chez nos clients.


La France se distingue-t-elle, parmi les autres filiales de Qlik dans le monde ?

René Bergniard : les équipes françaises sont connues pour leur efficacité, et aussi pour leur cohésion. Nous nous réunissons chaque année et l’enthousiasme des Français est souvent remarqué. Cette année, j’ai eu le plaisir de recevoir le trophée « VP of the year » qui m’a été remis en saluant l’efficacité et la cohésion de notre équipe de management. Cette combinaison entre la performance des équipes et la bonne ambiance de travail est un des points dont je suis le plus fier.


Comment voyez-vous l’avenir proche ? La croissance de Qlik va-t-elle se poursuivre au même rythme, malgré la concurrence ?

René Bergniard : l’arrivée de la dernière génération de QlikView va nous permettre de poursuivre notre croissance, et d’améliorer encore notre visibilité sur le marché, avec notre positionnement sur le Natural Analytics. La concurrence est une très bonne chose : elle montre que le marché existe et elle nous pousse à innover pour conserver notre avance. Notre marché est vaste et ne cesse de s’étendre, il y a de la place pour tout le monde. La fidélité de nos clients nous prouve que nous maintenons le bon cap.

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